L’EGLISE SAINT PAUL
Clermont comptait 10 paroisses jusqu’à la fin du 13°.
St Sixte d’Avenasque qui est citée pour la 1° fois en 1236. il ne reste que des vestiges de cet édifice roman.
St Barthélemy (vestige)
St Privat de Fouscais qui est citée en 1162 (aucun vestige)
St Vincent de Fouscais qui est citée en 1275 (aucun vestige)
St Peyre de Rougas (une maison actuellement) citée en 1275
St Martin d’Aureillac (Brignac) citée en 1162
St Marie Mademeine de la Sadras découverte en 1952 et qui appartenait aux templiers et aux hospitaliers.
Saint Paul bâtie sur les restes d’un ancien édifice roman est citée en 1158
St Etienne de Rougas citée en 1162 (aucun vestige)
St Etienne de Gorjan est la chapelle de l’hôpital. Elle est citée en 1162.
Autres édifices religieux de la ville
Notre dame du Peyrou (annexe de saint Paul)
Notre dame de Gorjan (centre ville) 16°
Notre dame de Consolation (face à hôpital) 16°
Ces paroisses vont disparaître à partir du 11° et 12° à cause de la construction du château (et de ses enceintes) et de l’église Saint Paul. Les habitants fuient leurs petites paroisses pour rejoindre le nouveau bourg (plus sécurisé) et laissent à l’abandon les églises. L’église saint Paul a permis la réunification de 3 églises paroissiales : St Etienne de Gorjan (hôpital), St Etienne de Rougas, et St Paul.
SAINT PAUL
On va construire cet édifice sur la base d’une ancienne église romane citée en 1158. Il reste des vestiges de cet édifice : oculus, 2 chapiteaux, un tympan, un benitier, une frise. C’est une église de base romane que l’on a voulu transformer en une église gothique avec plus ou moins de réussite.
La construction de l’église va débuter en 1276 suite à la décision de réunir les paroisses de Saint Etienne de Rougas, de Gorjan et de Saint Paul et on construira l’édifice en plusieurs campagnes suivant les moyens financiers. Elle sera consacrée en 1331 mais les travaux continuent.
De 1275 à 1331 on construit, l’abside, les absidioles, les 3 premières travées, les bas cotés et les 3 premières chapelles.
En 1388 on fait la 4° travée et la chapelle du purgatoire.
En 1424 on commence le mur de l’entrée et en 1427 on commence la rose faites par 4 architectes. Elle sera terminée en 1441.
L’église des Dominicain (1381) était concurrente au niveau de l’architecture avec Saint Paul .Au 15°, on construit le clocher qui fait 30m de haut (donjon tour de guet). Au 16°, la sacristie.
Les dimensions :
- Longueur totale : 47.75m (Saint Fulcrand 51m)
- Largueur totale : 20.16m (Saint Fulcrand 26m)
- Largeur totale avec les chapelles : 30.37m
- Hauteur de la nef sous clé : 19.10 (Lodève 25m)
- Surface : 1475 m2 (église romane 300m2)
Elle est orientée vers l’EST (Aniane ; soleil levant au solstice d’été). Elle a un plan basilical (style paléochrétien, cf abbaye de Valmagne), 6 travées, 2 bas cotés, des chapelles latérales logées entre les contreforts. Les travaux débutèrent par le chœur (cf Notre Dame de Paris en 1163) puis on commença les premières travées etc ….L’élévation est composée de 2 étages de grandes arcades et de fenêtres hautes. L’architecte est inconnu. Il y a des éléments de remploi. Il y a un gros appareil de grés et de tuf. L’abside actuelle est celle de l’ancienne église romane
Il y a plusieurs entrées :
- Porte Nord : centre ville
- Porte Saint Paul (au sud) cimetière et jardin. Il reste un tympan de l’église primitive
Les Chapelles :
- Confrérie de Saint ROCH, patron des laboureurs, statue de Saint Roch en bois doré (17°)
- Confrérie du ROSAIRE (18°)
- Confrérie du SACREE COEUR (1759)
- LA CROIX Au dessus un oculus de l’église romane.
- NOTRE DAME DES DOULEURS Pietà du 18°
- ST FULCRAND Dans la niche à droite, les reliques de Saint Fulcrand. L’autel daté de 1763 était le maître-autel de l’église des Dominicains.
- LES AMES DU PURGATOIRE (1388)
- SAINT SEBASTIEN
- SAINT ANNE
- CHAPELLE DES DEFUNTS victimes de guerres
LES FORTIFICATIONS :
L’ église sera fortifiée à cause des guerres de religion. Les principales alertes menaçant la ville et l’édifice auront lieu en 1335 et 1362. Routiers, Anglais, espagnols …. arrivent dans la région. Il faut donc se protéger de l’ennemi. Au dessus de la rosace il y a une échauguette intérieure du 15° qui permettait d’alerter les gens à l’intérieur de l’église. Fin 15° on construit 2 tours avec archères (tour de l’Horloge et Saint Roch) à l’entrée ouest . Elles sont reliées entre elles par une galerie extérieure à mâchicoulis. Mâchicoulis, tours de guet, des trous dans l’abside qui servaient de logements à de gros corbeaux ou de grosses poutres. Au 16° avec les guerres de religion, l’église est devenue une forteresse protégée. Deux murs relient l’église aux remparts de la ville. La ville est assiégée en 1575 (calviniste), 1584 (duc de Montmorency) , 1592 etc… On détruira les remparts reliant l’église à la ville en 1765 ainsi qu’une partie des fortifications de l’église..
Du 16° au 20°, il y aura des réparations et des aménagements. Toutes ces rénovations furent financées par les impôts et le bon vouloir des habitants (exemple le pavage sous chaque banc financé par les habitants en 1741). De la défense du 16° il ne reste aujourd’hui que les mâchicoulis sur arcs de l’abside à l’est, le clocher, un morceau de mur percé d’archères à gauche du clocher, les mâchicoulis sur corbeaux de la rosace ouest, les 2 tours. Il y a aussi des traces de boulets de canon sur la façade. Au 19° on met en valeur l’église et on lutte contre la dégradation. Au 20° on restaure de 1939 à 1946 puis de 1955 à 1960, 1974, 2000. Il ne reste qu’un pilier d’origine au niveau de la chaire.
L’INTERIEUR
Les clés de voûtes : armoiries de la famille LAUZIERES (clé de voûte de la 4° travée de la nef)
Marques lapidaires des tailleurs de pierre et des restaurateurs
4° chapelle sud : cul de lampe : musicien (15°) et un lion
LA ROSACE (joyau du gothique flamboyant)
Sa construction débute en 1427 et elle aurait été terminée en 1441. On la construite avec du grés provenant du site de la Faïence proche de Villeneuvette. Son diamètre est de 8m et elle se compose de 10 tonnes de pierre. Elle n’est pas au centre de la façade (problème de symétrie). Elle est défendue par les beaux mâchicoulis montés sur corbeaux. La 1°restauration a lieu en 1850 par Mr Rastoul puis de 1949 à 1953 pour un coût de 1.230 000 frs. Les vitraux datent de 1951 (maître verrier de Limoges Mr CHIGOT). Au dessus de la rosace une petite porte qui servait a un guetteur qui prévenait les fidèles en cas d’attaque extérieure.
Iconographie :
Partie centrale :
Au centre : la Trinité et dieu
Droite : saint esprit et colombe
Gauche : multiplication des pains et Jésus
2° partie
24 vitraux évoquant les heures de la journée
3° partie
Cours céleste et anges musicien
12 vitraux qui évoquent les 12 prophètes
LES VITRAUX :
Ceux de l’abside sont de 1881 et ceux près de l’entrée de 1881
LE MOBILIER
L’église Saint Paul ne possédait pas de « trésor » du moins si l’on se réfère aux inventaires de 1769 et 1792. Le mobilier actuel date en majeure partie du 17° et du 18°.
LE BENITIER ROMAN
Le bénitier roman que l’on voit au pied du pilier gauche de l’autel, et qui provient peut-être de l’église antérieure, est supporté par un ancien pied d’autel.
STATUE DE SAINT ROCH
Cette statue , dans la première chapelle à gauche, avec son ange ( le chien a été dérobé il y a une trentaine d’années en 1970) date du 17° siècle. Le saint est revêtu de sa chape violette à l’instar des statues roussillonnaises et espagnoles. Patron de la confrérie des laboureurs, il a présidé un grand nombre de processions pour demander tantôt la cessation d’une peste, tantôt une pluie bienfaisante. Sa dernière sortie officielle remonte à 1918, pour rendre visite à Notre Dame du Pêyrou et obtenir la cessation d’une épidémie de grippe.
St Roch fut sauvé de la peste grâce à son chien qui lui lécha ses plaies. Des statues de ce saint se trouvent dans d’autres villes des alentours comme à PEZENAS par exemple.
LA CHAIRE
Elle fut offerte par la ville en 1638. Au bas de celle-ci sont sculptés les noms des consuls en exercice: BOUISSIN, REY, JALAGUIER. Il convient d’en admirer l’abat-son (couronne comtale), les panneaux filigranée, la rampe du 18°, simple mais combien élégante.
LE BAHUT LOUIS XIV
Ce bahut, en noyer sculpté, se trouve dans la sacristie.
LE MAITRE AUTEL:
Le maître autel est classé monument historique. Il était le siège de la confrérie des Maîtres fabricants drapiers. IL fut placé en mars 1773 et coûta 1058 livres. Sculpté par un atelier d’Avignon, il est tout en marbre. Il fut transporté jusqu’à Agde par bateau et de là à Clermont, en charrette. Un écusson en marbre, représentant la conversion de Saint Paul, orne le devant de la table. Son splendide tabernacle était surmonté d’une exposition ou ciborium, que l’on a cru devoir déposer et reléguer à la sacristie il y a quelques années. Autour du tabernacle les symboles de 4 évangiles : un enfant pour Saint Matthieu, un lion pour Saint Marc, un taureau pour Saint Luc, un aigle pour Saint Jean. Sur le devant de l’autel, en médaillon : Saint Paul terrassé sur le chemin de Damas. A l’origine, cet autel était implanté plus en avant qu’aujourd’hui. En 1881, on suréleva le chœur de 2 marches: C’est Mme Bruguieres qui finança le pavage; on recula le maître autel actuel vers le fond de l’abside.
L’APPUI DE COMMUNION:
Cette rampe en fer forgé qui limite le chœur date du 18°. C’est un chef d’œuvre de 2 Clermontais: Joseph Piol et Jean Balestier, maîtres serruriers. J PIOL membre du conseil de la ville fit accepter ses plans et devis. J Balestier devint adjudicataire et en assura l’exécution. Cette œuvre d’art qui coûta 585 livres , fut mise en place en 1775.
L’AUTEL DE LA CHAPELLE SUD:
Situé dans la chapelle Saint Fulcrand, il est remarquable par la beauté de ses marbres et sa finesse. Cette œuvre du 18° est l’ancien maître autel de l’église des Dominicains installé à Saint Paul après la Révolution. IL avait été offert en 1763 par Jean Bernard
LE CRUCIFIX
Ce crucifix, accroché au pilier face à la chaire est une œuvre du 18°. Il fut restauré en 1944
LES ORGUES
LE PREMIER GRAND ORGUE
Jusqu’en 1835 l’église saint Paul n’avait jamais eu d’orgue. Cette année-là, la paroisse acheta un orgue d’occasion au collège de Tournon sur Rhône et le fit installer par André Laffon, facteur d’Orgues de Saint Jean de Fos (à coté de Clermont) sur une tribune sous la rosace. Il servit une dernière fois en mai 1932, à l’occasion de noces sacerdotales de l’abbé Léotard, après avoir été remis en état par Maurice Taurand ;organiste. En 1951, avant qu’on ne démolisse la tribune, M Taurand démonta le vieil orgue; les 601 tuyaux, soigneusement répertoriés et emballés dans des caisses, furent entreposés au presbytère. Ils ont été classés monuments historiques. Sur le clavier figuraient deux dates: 1740 et 1894
LE GRAND ORGUE ACTUEL:
L’orgue actuel installé sous la rosace sur une nouvelle tribune a été inauguré le 23 janvier 1999 par Mgr Ricard évêque de Montpellier. Il a été construit dans les ateliers de la manufacture languedocienne des grandes Orgues à Lodève. Il comprend 27 jeux. On y a introduit la tuyauterie de l’ancien orgue, complété par des tuyaux neufs. Il existe une association « Les amis de l’Orgue » qui organisent différents concerts toute l’année.
L’ORGUE DE CHŒUR
L’orgue de chœur, installé dans la 1° chapelle nord (Saint Anne) fut livré a la cathédrale de Nîmes en juillet 1856 par le facteur d’orgues Vincent Cavaille Coll. En 1894, l’abbé Saumade, curé doyen, l’acheta pour l’église Saint Paul. Il comprend 12 jeux, 2 claviers et pédaliers. IL fut installé par la maison Puget de Toulouse, à droite du chœur. En 1936, Maurice Taurand le déplaça, à gauche et, en 1946 on le transféra dans la chapelle Saint Anne.
LES TABLEAUX
LA CONVERSION DE SAINT PAUL
Le tableau accroché au dessus de la porte nord représente la conversion de Saint Paul. Il fut offert par la ville à la paroisse en 1652, à la suite d’un vœu: entre le 25 juillet et le 25 novembre la peste avait fait 1600 morts. Les 3 tableaux mentionnés ci-dessus ont été achetés par la ville le 9 novembre 1787 pour la somme totale de 1700 livres. Ils sont l’œuvre d’un peintre montpelliérain du 18°: Jean Coustou.
VŒUX DE SAINT PAUL.
Offert après la grande peste de 1652 qui aurait fait 1600 morts
LA SAINTE FAMILLE
Classé monument historique, restauré en 1958, il occupe le mur du bas-coté nord, façade ouest. C’est une œuvre d’un peintre montpelliérain Jean Coustou (cf Bourdon) au 18°
LA PREDILECTION DE SAINT JEAN BAPTISTE
Il a disparu
SAINTE MADELEINE:
Également classé monument historique, ce tableau représentant Sainte madeleine, peut être admiré à la sacristie. Bien que propriété de la paroisse, il resta longtemps en l’église de Gorjan ou il avait été transféré à la fin du 19°; sans doute pour permettre des réparations à Saint Paul. Agissant sur les instructions du conservateur des antiquités et objets d’arts de l’Hérault, le 28 février 1955 MM Louis et Taurand de Clermont enlèvent le tableau de l’église de Gorjan laissée a l’abandon et le transportent dans la sacristie de saint paul. Cette œuvre d’art fut restauré en 1959.
LES CLOCHES
Jusqu’à la Révolution, la vie des Clermontais était rythmée par le tintement des cloches des nombreux établissement religieux de la ville. L’état des églises supprimées, adressé le 24 septembre 1791 par la ville au district ne signale pas mois de 11 cloches ! Les dominicains (1), les Recollets (1), Notre Dame de Gorjan (1) Saint Paul (4) Les pénitents blancs (1), les pénitents gris (1), l’église de l’hôpital (1), notre dame du Pêyrou (1).
LES CLOCHES DE SAINT PAUL
En 1697, le clocher abritait 3 cloches, mais 2 étaient cassées et le battant de la 3° devait être changé. En 1700, le clocher en abritait 5 qui étaient qualifiées de très anciennes. En 1717, sur les 5, 2 seulement étaient utilisables. En 1773, la cloche que les Clermontais appelaient « l’Engreoula »(petite cloche à la sonorité grêle) est cassée. Elle est refondue. Le fondeur doit garantir la cloche pendant 3 ans et la refaire à ses dépens si elle casse ou si elle est endommagée pendant le transport de Pézenas à Clermont. Un arrêt du parlement du 14 juillet 1788 interdit de sonner les cloches pendant les orages, sous peine d’amende.
Le 29 juin 1792, il est proposé à la municipalité de réduire le nombre de cloches de l’église saint Paul et d’en envoyer à la monnaie: cela procurerait des ressources a la ville. Un membre du conseil donne son avis:
« Je mets que nous cédions les 2 petites cloches qui pèsent 20 quintaux, il en résultera le plus 2000 livres pour nous et pour être employées encore en travaux public ou de charité: la belle ressource pour nous priver de ce que nous avons de plus agréable dans cette ville; que nous y consentions, toute la ville tomberait sur nos corps; et ceux qui viendraient diraient que nous avons mange jusqu’aux cloches » Malgré cela, la ville a du envoyer des cloches à la monnaie: une lettre du 14 août 1792 avise le maire qu’il va toucher 485 livres en échange! Le 5 octobre 1793, la paroisse ne devait conserver qu’une cloche dans le clocher: la plus grosse. Refondue en 1811, on en fit 2 plus petites: l’une de 15 quintaux, l’autre de 25 quintaux.
Nous en avons actuellement 3: une grosse , fondue en 1861, les deux autres refondues en 1869: la grosse sonne le DO du 16 pieds. Son nom est « la cadette ». Elle a été donnée par Melle Antoinette Maistre, en mémoire de son mari. Elle a été bénite en 1861. Elle a été fondue a Lyon. Elle porte l’inscription suivante: « Vespere et mane et meridie narrabo et annuntiabo mirabilia domini » ce qui signifie: Le soir , le matin à midi, je raconterai et annoncerai les merveilles du seigneur. Elle mesure 1.15m de hauteur et 1.47m de diamètre.
La moyenne (actuellement fêlée) sonne le MI du 8 pieds. Elle a été fondue par la maison Jacob Holtzer et Cie. Elle s’appelle Leonie Lucie. Elle fut bénie en 1869. Elle mesure 1.10m de hauteur et 1.34m de diamètre.
La petite sonne le Sol du 4 pieds. Elle a été fondue par la maison Jacob et Cie. Elle fut bénite en 1869. Sa hauteur est de 1.06 m et son diamètre de 0.66 m.
L’HORLOGE
L’heure est sonnée aujourd’hui encore par une cloche d’époque gothique (15°) classée monument historique, suspendue au campanile en fer forgé en 1810. Elle porte une inscription en minuscules gothiques rendue illisible par buchage lors de la Révolution Comme pour les cloches, il est très souvent question dans les délibérations communales des réparation à effectuer à la « montre ». Son entretien était a la charge de la communauté. Les consuls nommaient divers ouvriers qui se trouvaient changés à chaque consulat, ce qui fait que l’horloge était très mal entretenue. La personne chargé de remonter le mouvement chaque jour devait avoir de bonnes jambes car cela représentait 149 marches à monter et a descendre! A compter de 1734, un jeune employé en assura l’entretien pour lequel « lui sera ballé pendant sa vie pour la somme de 50 livres chaque année) en 1793, de nouvelles réparations reviennent à 300 livres. Le réparateur refait le cadran, garantit son travail 10 ans et se charge de l’entretien toute sa vie. En 1824, on remplace le mouvement; on change les contrepoids en pierre par des contrepoids en plomb. Aujourd’hui, le mouvement est électrifié et son entretien est assuré par les services municipaux.
Extrait: « Si l’eglise de Clermont m’était conté », Paul Taurand