LE MARCHE DE CLERMONT L’HERAULT

LE MARCHE DE CLERMONT L’HERAULT

AL MERCAT DE CLARMOUN

Cité dans les textes dès 1149, le marché du mercredi matin à Clermont l’Hérault est une institution pour les clermontais et les villages alentours. Au moyen age, la ville comptait plusieurs places dédiées aux marchés : blé, huile, cochon, volaille, poisson, légume, charbon… Des halles permettaient un marché quotidien, elles ont disparu avant la Révolution. Encore en centre historique, reste les noms de ces anciens marchés. De nos jours, le marché reste principalement placé autour de l’église et de la mairie (voir ci dessous-) mais s’agrandit en été ou il accueille de trés nombreux touristes

 


Voici le marché de Clermont en 1913 !  Le marché aux cochons et aux volailles était autrefois très important dans la ville.

Aujourd’hui le marché de Clermont reste une véritable institution pour les Clermontais et les villageois des alentours. Tous les mercredis matin des milliers de personnes (surtout en été) envahissent le centre ville et profitent des différents commerçants et artisans qui exposent.

JEAN-ANTOINE PEYROTTES : POÈTE POTIER CLERMONTAIS

Bien de nos compatriotes ignorent ce personnage  qui a  pourtant connu une gloire régionale et même nationale ;

 Nous regrettons de ne pouvoir qu’ébaucher  ce que fut sa courte vie (45 ans), né le 18/3/1813 à Clermont, dans une demeure du Haut Pioch (Chemin de la République) , fils d’Antoine PEYROTTES  Potier, originaire  de St Jean de Fos, et de Thérèse  CAUSSE, Clermontaise de naissance , il décéda à CABRIERES, le 3 Juillet 1858. Sur sa maison natale (à l’intérieur de l’enclos ) une plaque en marbre indique » Ayssi dédins aquel oustal nasquet et rendait lou dernier badal Lou Poëte potier PEYDOT. Loustal es pla pichot mais per soun en éda pla bel ( Içi dans cette maison naquit et rendit le dernier soupir le poète Potier Peyrottes, la maison était petite mais pour sur c’était la plus belle (1). Il est encore connu par la présence de sa tombe dans l’ancien cimetière (aujourd’hui Jardin des Poètes  Rue B.Guiraudou) avec une épitaphe écrite par lui-même « Sus lous hommés en joya,et su lous que gémissou,Dioou ! jita un régard  patérnel et sous toutés lous morts qué dans loû clot dourmissou, Fay llusi toun lun éternel (Sur les hommes  joyeux et sur ceux qui gémissent, DIEU ! jette un regard paternel et sur tous les morts qui dans  leurs enclos dorment fait luire ta lumière éternelle)

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UN CLERMONTAIS CÉLÈBRE : RENÉ GINOUVES

UN CLERMONTAIS CÉLÈBRE : RENÉ GINOUVES

René Ginouvès, un archéologue clermontais devenu célèbre

La plupart des clermontais connaissent la place où se situe l’immeuble dit « des pilotis » (aujourd’hui le C.C.A.S) mais cette place porte en fait le nom de « Place Auguste et René Ginouvès », père et fils nés à Clermont l’Hérault dont le fils René est devenu un archéologue internationalement reconnu et dont une grande école d’archéologie parisienne porte le nom.

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UN CLERMONTAIS CÉLÈBRE : RENÉ GOSSE

UN CLERMONTAIS CÉLÈBRE : RENÉ GOSSE

René Gosse est une figure clermontaise qui s’est illustrée dans le monde des mathématiques mais également en tant que Résistant. Il fut doyen de la faculté de Grenoble. Il entra en résistance lors de la seconde guerre mondiale. La ville de Clermont lui rendit hommage en donnant son nom au Collège et à la principale rue de Clermont.

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ECRIVAINS CLERMONTAIS CELEBRES : JULES BOISSIERES ET GABRIEL ALPHAUD

ECRIVAINS CLERMONTAIS CELEBRES

Jules Boissière : un grand écrivain Clermontais (1863-1897)

JULES Boissière est né le 17 avril 1863 à Clermont et il est mort le 12 août 1897 à Hanoi au Vietnam. Il naquit dans la rue Croix rouge de Louis Edouard Boissière et de Marie Louise Rodde. Il fit une partie de ses études au Collège de Clermont avant de les poursuivre sur Montpellier et Paris. Il commença à publier à l’âge de vingt ans des recueils de poésies, influencés par l’œuvre de Stéphane Mallarmé.

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ECRIVAINS ET POETES CLERMONTAIS

ECRIVAINS ET POETES CLERMONTAIS

Le goût de l’écriture a suscité de nombreuses  vocations chez les Clermontais qui ont tenu à transcrire leurs idées, leurs préoccupations, leurs connaissances leurs informations leurs idéaux, leurs rêves, enfin tout ou à peu près tout ce qu’inspire l’esprit de l’être humain. Certains ont survécu à l’oubli de nos compatriotes, tels  J.A. PEYROTTES  Jules Boissiére, Fernand Mery, l’Abbé Durand, Ernest MARTIN, Gaston COMBARNOUS, mais combien  d’autres mériteraient d’en sortir pour qu’un éclair, un rayon lumière, une lueur dégagée de quelques écrits enjolive, égaye, enchante quelque instant ceux qui les découvriraient. Beaucoup  sont enfoui  dans quelque tiroir, dans une vieille  malle, leur goût d’écrire resté à jamais dans le cimetière des rêves perdus. Une période a été propice à l’éclosion de talents cachés, celle marqué pas deux  années de parution du « Troubadour » en 1921 et 1922 quand, cette publication dirigée par une équipe animée par Gaston Combarnous a fait connaître de nombreuses poésies, nouvelles, récits qui font découvrir de nombreux talents et en particulier des savoureux versificateurs en « patois » dont la verve étonnante enchanterait encore aujourd’hui de nouveaux lecteurs.

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LE CINÉMA A CLERMONT L’HERAULT

LE CINEMA A CLERMONT L’HERAULT

Lentielectroplastichromomiloserpentegraph à Clermont l’Hérault

Ce premier titre, peu connu, est bien pourtant la première dénomination donné à la nouvelle invention des Frères LUMIERE présentée au Public pour la première fois le 28 Décembre 1895, elle fut remplacée plus tard par CINEMATOGRAPHE ensuite CINEMA, et bien entendu plus tard, par CINE. Les spectateurs du Clermontais pourtant connurent cette première dénomination lorsque les exploitants ambulants qui s’installaient sur la place de la plaine (Place de la République) l’utilisèrent afin de frapper la curiosité des chalands.Malgré la création de salles de cinéma, ces Forains continuèrent de nombreuses années, ils choisissaient des films, mélodramatiques ou contenant des scènes terrifiantes, c’est ainsi que le spectacle donné par les spectateurs avait autant de saveurs que le film (Pellicule Cinématographique) car le réalisme des prises de vue les incitait à avertir les acteurs d’un danger, pousser des soupirs ou crier d’effroi lorsque bondissait au centre de l’écran un lion rugissant ou une locomotive.L’écran parfois tressautait ou se gondolait sous l’effet des bourrasques du vent et déformait les images mais cela ne gênait pas les spectateurs qui par leur participation au spectacle s’y complaisaient volontiers.C’était le spectacle total comme on l’imagine maintenant au Théâtre moderne.

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LA MUSIQUE A CLERMONT L’HERAULT

LA MUSIQUE A CLERMONT L’HERAULT

Clermont à l’image de son célèbre Théâtre Municipal a toujours été amateur de musique, de Chants, Bel Canto, opérettes ou variétés. Nombreux ont été les compositeurs nés en son sein, certains ont parfois conquis une notoriété. Sur le plan local ou régional nombreux ont été à composer des chansons locales, à diriger des orchestres, des orphéons, des chorales, des fanfares qui ont captivé et séduit de nombreux mélomanes. Ils auront été les précurseurs de ceux qui aujourd’hui continuent sur ce chemin, tels Mrs Courbet et Pauwels, pour la Chorale Vagabondage, Les Compagnons du Salagou, la Troupe du Clouquié, Alain SIELVA, Luc Seignourel, Jimmy TURMO,  Francis RIU directeur de l’ecole de musique municipale, Paul Vernet….

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L’HOPITAL ET SA CHAPELLE SAINT ETIENNE DE GORJAN

L’HOPITAL ET SA CHAPELLE SAINT ETIENNE DE GORJAN

En 1631, lors de la visite pastorale de l’évêque Plantavit de la Pauze, ce dernier nota deux hôpitaux : l’un en centre ville pour les veuves et l’autre prés de l’église Saint Paul destiné aux pauvres. Le terme d’hôpital à cette époque n’avait pas la même signification qu’actuellement puisque au XVII°, le terme désignait un lieu d’accueil pour les pauvres en général qui y étaient soignés, logés et blanchis et même inhumé car les hôpitaux avaient des cimetières.

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NOTRE DAME DE GORJAN

NOTRE DAME DE GORJAN

CLERMONT L’HERAULT

Les Bénédictines qui avaient fondé en 1356 un monastère autour de la chapelle actuelle de l’hôpital en furent chassées par les calvinistes en 1561.

En 1580 elles revinrent à Clermont pour fonder un nouveau monastère dans le quartier du Pioch, par fidélité à leur monastère d’origine, elles lui donnèrent le nom de Notre Dame de Gorjan bien que le tènement de GORJAN (ou GOURJO) soit à l’opposé sur la colline qui surmonte l’hôpital actuel.

Elles battirent sur ces pentes escarpées un solide édifice, en utilisant les fondations anciennes d’un bâtiment, probablement l’ancienne église du Pioch à l’intérieur du mur d’enceinte. Les gestes des vandales ont permis d’apercevoir derrière l’autel de Ste Philomène, des supers structures romanes qui apporteraient en cas de recherches archéologiques une confirmation à cette hypothèse.

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