ECRIVAINS ET POETES CLERMONTAIS
Le goût de l’écriture a suscité de nombreuses vocations chez les Clermontais qui ont tenu à transcrire leurs idées, leurs préoccupations, leurs connaissances leurs informations leurs idéaux, leurs rêves, enfin tout ou à peu près tout ce qu’inspire l’esprit de l’être humain. Certains ont survécu à l’oubli de nos compatriotes, tels J.A. PEYROTTES Jules Boissiére, Fernand Mery, l’Abbé Durand, Ernest MARTIN, Gaston COMBARNOUS, mais combien d’autres mériteraient d’en sortir pour qu’un éclair, un rayon lumière, une lueur dégagée de quelques écrits enjolive, égaye, enchante quelque instant ceux qui les découvriraient. Beaucoup sont enfoui dans quelque tiroir, dans une vieille malle, leur goût d’écrire resté à jamais dans le cimetière des rêves perdus. Une période a été propice à l’éclosion de talents cachés, celle marqué pas deux années de parution du « Troubadour » en 1921 et 1922 quand, cette publication dirigée par une équipe animée par Gaston Combarnous a fait connaître de nombreuses poésies, nouvelles, récits qui font découvrir de nombreux talents et en particulier des savoureux versificateurs en « patois » dont la verve étonnante enchanterait encore aujourd’hui de nouveaux lecteurs.
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